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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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5 novembre 2007

climatologie (fortement) projectale (hypothétique ou pas)

Tout à l'heure, une (courte) translation géographique, en véhicule automobile autonome, va nous mener, un partenaire amicalo-professionnel et moi-même, en un lieu singulièrement moins urbain que celui d'où j'écris présentement ces mots (?), afin d'y rejoindre un (autre) partenaire amicalo-professionnel (récemment (campagnardement) villageois donc) pour une séance labeurique sur un (ancien) projet non hypothétique à la réalisation à la fois (temporellement) proche et (géographiquement) lointaine. Sachant qu'une (autre) séance labeurique (sur projet hypothétique (et local) cette fois, avec d'autres partenaires amicalo-professionnel(le)s) s'est terminée hier soir (fort) tard, me ramenant tardivement (donc) en mon intérieur domestique où, après un rapide bol de riz (?) je me suis (rapidement itou) endormi, pour me réveiller, sans aucune autre raison qu'une (naturelle ?) conformation insomniaque, vers cinq heures du matin, je ne peux que constater un état de (relative) fatigue (corporelle), à l'orée (?) de cette semaine qui commence, et durant laquelle je suis censé (pourquoi ?) faire pas mal de choses. Ou sinon aujourd'hui, il a l'air de faire beau et (un peu) froid.
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Commentaires
P
Sans trop m'avancer j'oserai supputer que la présence irréductible de néologismes, barbarismes et autres impasses confusément sémantiques reste une (incontournable) garantie à une (toujours un peu chaotique) obscurité sémantique.<br /> Même si parfois l'on souhaiterait, (moi le premier), y voir plus clair...
X
Je me trouve tout confus d'interventionner, mais (vigule) une réduction d'expression parenthésique introductionnerait un rien de clarté banalisante (pour ne pas dire plus) laquelle banalisation ne serait en rien pertinente, car elle pourrait mener qu'aux solutions paroxystiques expressionelles souvent assenées (comme quoi)sous la forme "si l'on a rien à dire le mieux est de se taire" (ce qui serait un comble) la dernière parenthèse étant, je le confesse, sans objet.
P
Force est de constater que votre " mise (un peu) en joie " annoncée ici m'en amène en retour, ce qui n'est (similairement) pas rien par les temps qui courent.<br /> Et reconnaissant l'hâchure parenthèso-générée, (assumée plutôt que réellement revendiquée), ne peut que m'excuser ici de cette (dommageable) diminution plaisirante (?), n'étant moi-même que guère convaincu par la logique de tout cela.<br /> Vous remerciant de votre commentaire, un effort vais-je (vainement ?) tenter dans la voie d'une (patente) réduction parenthèsique.<br /> (Zut ! encore raté...)
É
je passe de temps en temps ici: plaisir de cette description d'une forme de non-action, assortie de cette constante mise à distance; en clair, ça me met un peu en joie, ce qui n'est pas peu. J'ai bien compris que l'emploi des parenthèses était revendiqué, et j'ai peur d'être un peu brutale (et donc grossière), mais c'est parfois beaucoup trop hâché et ça diminue grandement mon plaisir de lecture. Ce faisant, ça n'a pas tant d'importance, si je suis la logique de l'auteur. Bonne soirée
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