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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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6 novembre 2007

la (maligne) question (récurrente)

Alors qu'hier matin, je constatais (déjà) un état de (relative) fatigue corporelle, je me vois au regret de signaler ici l'adjonction accroissive (?) d'une lassitude cette fois plus résolument existentielle du fait d'une (récente) conjoncture amicalo-sentimentalo-côtoyante singulièrement confuse, pour ne pas dire problématique, arrivant dommageablement dans un contexte global pas épatant non plus. A partir de là, je ne peux qu'envisager les bras-ballants une nouvelle pliance roseauïenne (?), tout en reconnaissant le patent effort qu'il peut y avoir à s'imaginer un roseau pliant (assez étonnamment) doté de bras ballants. " C'est quand que cela va aller mieux ? " se demande alors (malignement ?) l'auteur de ces lignes, hésitant encore entre une absorption aqueuse, un allongement sommeillique ou une (nouvelle) sortie sur le boulevard balayé par le vent froid de cette journée décidément guère réjouissante...
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Commentaires
P
Au vu de la confusion globale de nos existences confuses et chaotiques, alliée à la vacuité non moins globale de tout cela (?), entre le " j'y vas-t-y " et le " j'y vas-ty pas ", force est de constater ma (conceptuelle) tendance à opter pour la premiére proposition (on n'a qu'une vie), même si dans la pratique, la deuxiéme l'emporte parfois (souvent ?).<br /> C'est (vraiment ?) un peu moins pas clair comme ça ?<br /> :-)
G
Ben mince alors y manquait plus qu'ça.<br /> <br /> Je regrette parfois que ta ville portuaire et ma ville fluviale soient si éloignées. Me posant aujourd'hui une solide question quant à l'opportunité d'une très prochaine cotoyance non-plus-amicalo-mais-à-mon-grand-chagrin instructive, j'y vas-t-y j'y vas-t-y pas, je me disais qu'une consommation caféïque en ta compagnie, doublée d'une conversation existentialo-récapitulatoire à ce douloureux sujet même au bord d'un boulevard venteux m'aurait peut-être permis d'y voir un peu moins pas clair.
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