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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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6 janvier 2009

la force-de-constatance bémolisée

Alors que force-de-constatant hâtivement (et abusivement, comme la suite de cette présente phrase va tenter de l'énoncer clairement) ce matin (cf. note juste précédente) que le chemin à parcourir pour rassembler tous les documents administratifs à fin de dossiérisation serait probablement long et tortueux, (rendant la rendance lointaine), il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici, qu'après une rapide (et frugale) sustentation extérieure, il ne m'a fallu qu'une vingtaine de minutes de recherche (miraculeuse ?) en divers lieux (assignés ?) de mon intérieur domestique pour rassembler la totalité (?) des documents requis. Bien que ma naïveté naturelle ne me permette toutefois pas d'imaginer que du coup tout va être résolu, il n'en reste pas moins que la dernière étape (avant une prévisible nouvelle série à venir, la prudence projective s'impose...) dossieriquement constitutive semble, assez étonnamment, se limiter à une photocopisation des papiers retrouvés. Etant circonstantiellement (l'attente du salvateur plombier, cf. note toujours juste précedente) bloqué en mon interieur domestique cet après-midi, force est de constater une prévision photocopiante remise à demain, suivie dans la foulée d'une remise dossiérale, (pour autant qu'une incompréhension taquine du document " pièces à fournir " n'ait point généré de carences dans l'ensemble papiérique demandé par les instances administratives). Ensuite, si tout se passe bien (?), il me faudra patienter quatre à six semaines. Donc du coup, je confirme, mais avec un bémol (?), que je ne suis pas encore rendu...
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Commentaires
A
xiao-bob : Belle imitation de parenthèses ! <br /> Parenthèses : Un plombier efficace ! Donnez-moi vite son numéro !
P
abricot: Je me vois désolé de vous annoncer ici que vous avez perdu votre pari, le plombier étant intervenu avant la moindre activité photocopiante de ma part... :-)<br /> <br /> xiao-bob: Je ne peux, une nouvelle fois, que m'incliner devant cette (brillante) démonstration commentairique dont, je le reconnais non sans une (très légère) honte, je suis (un peu) jaloux (j'eus aimé l'écrire...), mais bon, la plus belle femme au monde ne peut donner que ce qu'elle a...<br /> Chapeau bas ! (et total respect ! selon le moderne langage employé par quelques jeunes humanoïdes généralement cantonnés dans les territoires periphériques des grandes cités modernes (?))
X
Tout cela n'est pas réjouissant, ce qui n'est pas un motif suffisant pour ne pas en rire<br /> Nous étudierons donc les rapports subtils entre la plomberie, les paperasses et les bémols;<br /> La plomberie, c'est une notion assez répandue pour n'avoir à y préciser, est affaire de tuyaux, d'où une parenté avec ceux des instruments dans lesquels on souffle et qui (de ce fait) émettent des bruits de différentes hauteurs (que des spécialistes rythment dans des caves où l'on ingère également de l'alcool (voire où l'on s'agite de façon scandée)) Ces ustensiles parés de petits noms charmants tels ophicléides, hélicons, sarrusophones, cromornes et j'enpasse ((voire pour les plus exotiques de trompettes ou clarinettes (le j'enpasse n'étant pas un musical instrument mais un petit mot destiné à clarifier le discours)) ( Je m'avise que discourant d'instruments à vents je perd paradoxalement mon souffle et inspire consécutivement une bonne lampée d'oxygène)<br /> Déjà cette parenté, instrumento-plombale était repérée par les anciens qui usaient à l'envie de l'expression "je vais te souffler dans les tuyaux" Instruction qu'il est dangereux de mettre en œuvre dans les circuits qui amènent et évacuent l'eau mais plus encore dans celui qui se contente de convoyer le gaz jusqu'au dispositif destiné à augmenter de façon significative et confortable la chaleur de nos aliments (tout en leur conférant plus d'agréabilité à être trituré dans notre orifice buccal) Alors, qu'en ce qui concerne les précités venteux instruments, cette pratique (le soufflage) est hautement conseillée, faute de laisser à l'instrument son caractère encombrant (que d'autres qualifieront de décoratif)<br /> Les paperasses me direz vous, il faut alors n'avoir jamais observé de desservants de ces ustensiles phonico-venteux (quoique s'il se fut agit d'instruments dits à cordes (grattées frottées ou percutées) ou encore de ceux qualifiés d'idiophones) pour ignorer que ces êtres (généralement humains) transbahutent une masse papiérique considérable qu'ils nomment le plus souvent des partoches, sur laquelle des signes cabalistiques devraient (si on savait les déchiffrer) donner le moyen de tenir à sa merci tout le petit peuple qui grouille dans les lieux administratifs (mais je m'avance au-delà de ma sapience (pourquoi d'ailleurs les desservants instrumentaux (leur nom ne serait-il pas musiciens?) auraient plus de grimoires que les autres professions?) (ici, des points d'interrogations et des parenthèses supplémentaires s'il en manquait ????(())( )<br /> Mais où donc se situera le bémol dans cette tentative démonstratrice ?<br /> C'est à peine évident: Adjoindre à un tuyau un dispositif modifiant son écoulement (serait-il peccamineux et donc non recherché) est semblable à la modification de la colonne d'air telle qu'elle est obtenue en manœuvrant les clés d'un ventophone, d'où la possible qualification de "bémol" de la résultante en matière d'écoulement aqueux.<br /> Voilà, j'espère avoir été clair, tout en mettant en doute que cette explication puisse éviter le recours au plombier.
A
Je parie que vous aurez un retour sur votre dossier avant l'arrivée du plombier ! Courage !
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