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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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7 janvier 2009

the day after

Ce matin, me levant (plein d'entrain ?) bien décidé à accomplir ma mission photocopiante (cf. notes précédentes), je constatais, par le biais de mes fenêtres boulevardiennes, un paysage rigoureusement diffèrent de celui que je contemple (et ai contemplé depuis les milliers d'années où j'habite la cité phocéenne) ordinairement: tout le boulevard recouvert d'une belle neige, qui ne cessait d'ailleurs de tomber à gros flocons. Ainsi, alors que le problème de fuite d'eau s'est trouvé résolu hier en fin de journée, (non sans être allé chercher (traquer ?) ma connaissance plombiérique, stationnée dans un des bars du boulevard, ayant complètement oublié sa promesse de passer chez moi dans la journée...), et que je m'apprêtais à un (nouveau) déplacement pedalocomoteur à finalité dossiéral, une nouvelle offensive adversique (quoiqu'assez magnifique, soit dit en passant, le silence dans les rues, le voile blanc, les enfants qui jouent...), conséquemment climatique semble retarder encore le dépôt de mon dossier. Toutefois, après une fort agréable et préalable sortie caféïque et quartieralement déambulante, (très bien équipé que je suis aux conditions extérieures extrêmes), je pense que je fais quand même allé faire la masse de photocopies papiérales lors d'une descente down-town, tout en espérant rester insensible aux chants des sirènes soldiennes, et ne point ainsi engloutir mes (faibles) ressources financières dans l'achat (compulsif ?) de (nouvelles) paires de chaussures... Tout cela reste (un peu) confondant, (sauf la neige qui elle est assez belle...).
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Commentaires
P
Avançons, avançons... de toutes les façons, nous serons pas rendu pour autant... :-)
X
On pourrait même avancer que le bout de nulle part doit être assez éloigné.
P
La " tabula rasa " attitude a cela de bon que le cumul adversique semble perdre (un peu) (et pour combien de temps ?) de son panache car, au bout du compte (lequel ?) et par bien des côtés, rien n'est plus puissant que le rien.<br /> Ou sinon, merci.<br /> :-)
G
Quelle luxuriance bloguesque ces temps-ci par ici. Et quel contraste avec l'aridité des mois secs précédents. En même temps comprenant que le retour cumulé des adversités n'y est pas étranger, je ne saurais m'en réjouir. <br /> Disons que je me réjouis de la lecture quotidienne, puisqu'elle l'est et que si je ne venais pas elle existerait et ses raisons de toutes façons.
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