26 mars 2009
les stratégies déviantes
Alors que cette journée a été l'occasion (prévue) d'une (longue) séance labeurique en partenariat amicalo-professionnel dans le cadre de la (très proche) réalisation d'un projet non hypothétique, force est de constater, un peu contrit, une nouvelle (je sais, cela devient un peu lassant, mais je n'y suis pas pour grand chose...) offensive de la part d'une (autrefois ?) charmante féminine créature et (prochement ancienne) partenaire amicalo-professionnelle dont la (trouble) confrontation tout l'an dernier (assez violemment) interrompue en fin d'année lors de la (tragique et) traumatique expédition belge (cf. notes de fin d'année 2008) a occasionné de (considérables) dégâts en mon intérieur interne.
Ces dernières semaines déjà, la réception de (troubles et) ambigus (voire carrément déplacés) textos de cette (pathologique) personne, (dont j'oeuvre, non sans difficulté et néanmoins conséquente volonté, à faire le deuil définitif) avaient quelque peu suscité perturbations internes et patentes contrariétés (que j'arrivais jusque là à digérer plus ou moins bien), me laissant craindre toutefois (comme tout paranoïaque intuitif...) de prévisibles nouvelles offensives, voire même une (perverse) stratégie en action qui, bien que de finalité fort floue et imprécise, ne me disait rien qui vaille.
Et franchissant un (nouveau) pas offensif, cette personne m'a aujourd'hui donc laissé un message sur mon répondeur cell-phonique, (la première fois depuis trois mois que j'entendais sa voix, alors que tout l'an dernier, nous partagions au moins trois séances labeuriques par semaine...) à finalité (apparemment) renouante puisque me proposant un instant caféïque afin que " nous parlions un peu..." (ce qui, sans entrer dans les détails, est contextuellement assez fort de café).
Outre le (relatif) effroi que me suscita cet appel, (l'interne blessure n'étant point encore cicatrisée), et mon (un peu étonnante, vu le contexte trouble et dangereux) indécision sur la (protectrice) attitude à adopter, force est de constater mon (naturel) émerveillement quant à l'aptitude de certaines personnes à passer outre les règles les plus élémentaires du respect de la personne humaine, précisant, en passant, que je ne crois que fort peu (voire pas du tout) à la capacité de l'être humain de réellement changer, et donc dans ce cas très précis sur la possibilité d'envisager des relations sereines (et non à haut taux toxique) avec cette même (trouble ? perverse ? complètement disjonctée ?) personne.
Du coup, je me demande si je n'aurais pas intérêt à me (re)plonger dans les perspectives résolument fiascoïsantes de mes (vaines) tentatives fémino-cotoyantes avec la jeune et charmante partenaire natatoire (déjà évoquée en ces lieux), échecs similairement contrariants, mais nettement moins dangereux.
Comme quoi...
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